Contrairement à Albrechtsberger lui-même, Seyfried reconnaît dans ses commentaires la théorie du renversement des accords, ainsi que les accords dissonants jusqu'à la 13e. Il décrit comme modulations « simples » les cinq modulations vers les degrés de la gamme diatonique du ton (à l'exception du viie degré en majeur, du iie degré en mineur ; les tons voisins sont donc les mêmes en majeur et en son relatif mineur), chacun dans le mode suggéré par cette gamme (WASON, 1985:8 sq.). Pour la traduction française, voir CHORON (1830).