Propose une version curieuse de la théorie des tons ecclesiastiques :
Los finales de los tonos son : el primero Delasolre con diapasón natural. El de segundo en Elami con un sostenido o en cosas de romance en Gsolreut con un bemol. El de tercero en Elami como el segundo. El de cuarto por Elami por diapasón natural. El de quinto en Elami como el tercero o en Csolfaut con el diapasón natural. El de sexto en Ffaut con un bemol. El de séptimo en Elami como el tercero o en Dlasolre como el primero o en la cuerda que es Alamire por lo común, Gsolreut alguna vez. El de octava en Dlasolre con un sostenido o en la cuerda que es Gsolreut. Otros finales de tonos accidentales y transportados hay descendientes de estos que los siguen en todo lo demás y por esto no los pongo (p. 24, cité d'après Tello, 1974:221 note 26). | Les finales des tons sont : le premier, ré avec l'octave naturelle. Celle du deuxième sur mi avec un dièse ou, dans les compositions en langue vulgaire, sur sol avec un bémol. Celle du troisième sur mi comme le deuxième. Celle du quatrième sur mi avec l'octave naturelle. Celle du cinquième sur mi comme le troisième ou sur do avec l'octave naturelle. Celle du sixième sur fa avec un bémol. Celle du septième sur mi comme le troisième ou sur ré comme le premier ou sur la note qui est la, communément, ou parfois sol. Celle du huitième sur ré avec un dièse ou sur la note qui est sol. Il y a d'autres finales des tons accidentels ou transposés, qui dérivent de ceux-ci qu'ils suivent en tout, c'est pourquoi je ne les indique pas. |