Le chapitre 5 de la IIe partie, consacré au cercle musical, justifie l'utilité de celui-ci par l'information qu'il donne sur la proximité des tonalités.
Selon Christensen (1992:99, note 18), Heinichen voit dans le remplacement d'accords parallèles de quinte par des accords parallèles de sixte une caractéristique importante du moderne Gusto (p. 742 sq.).
Heinichen affirme (p. 763) avoir imaginé la Règle de l'octave indépendamment de Campion et explique ce fait parce qu'elle est « si naturelle, si établie et si pratique qu'aucun auteur, s'il veut établir l'ambitus modorum naturel pour l'accompagnateur ou pour le compositeur débutant ou des règles pour la réalisation des basses non chiffrées, ne peut arriver à un autre principe » (p. 765-766; Christensen, 1992:102). Heinichen critique (p. 765) l'harmonisation de VI par la sixte haussée (6#).