FERMER

Murschhauser, Franz Xaver. Academia musico-poetico bipartita, Erster Teil, 1721




Murschhauser requiert la tierce majeure sur le premier accord d'un enchaînement cadentiel de quarte ascendante ou de quinte descendante (cadence parfaite) et une tierce mineure sur le premier accord d'un enchaînement cadentiel de quarte descendante ou de quinte ascendante (cadence plagale) :

Die Tertiam majorem betreffend / wird selbige demjenigen Fundamental-Clavi, oder Schlüssel aufgesetzt / von welchem man durch ein Cadenz, oder auf die Weis / und Gleichn[i]s einer Cadenz, entweders in die Quart hinauf / oder in die Quint hinab springt. Et : Von der Tertia minori. Diese wird absonderlich auf diejenige Fundamental-Claves erfordert / welche eine Cadenz entweders in die Quint hinauf / oder in die Quart hinab formiren / wann anderst derjenige Ton, auf welchen die Composition eingerichtet / eine solche Tertiam ex natura sua, und eine solche Cadenz mit sich führet / oder per accidens, das ist / zufälliger Weis zulässet (cité d'après Dahlhaus, 1967/1993:122-123). En ce qui concerne la tierce majeure, elle sera placée sur ce degré fondamental, ou clé, à partir de laquelle au saute d'une quarte vers le haut ou d'une quinte vers le bas, soit dans une cadence, soit à la manière et à l'imitation d'une cadence. Et : De la tierce mineure. Celle-ci est demandée absolument sur ces degrés fondamentaux qui forment une cadence soit par une quinte vers le haut, soit par une quarte vers le bas, parce qu'ou bien cette note sur laquelle la composition est conçue entraîne avec elle, par sa nature, une telle tierce et une telle cadence, ou bien elle l'autorise par accident, c'est-à-dire de manière fortuite.