Écrit notamment :
| Modi etiam laetiores sunt Ionicus, Lydius, Mixolydius propter diapente quod Harmonica dividitur. Tristiores contra & languidiores Dorius, Phrygius, & Aeolius, propter ejusdem intervallis Arithmeticam divisionem ubiq[ue] enim suaviorem sonum exprimit Harmonica, quam Arithmetica divisio (Folio I3 r°; cité dans LESTER, 1989:22-23 et note 8). | Les modes plus joyeux sont l'Ionien, le Lydien et le Mixolydien en raison de la quinte qui est divisée harmoniquement. Les modes plus tristes et plus languides par contre sont le Dorien, le Phrygien et l'Éolien, en raison de la division arithmétique du même intervalle. Partout en effet la division harmonique produit un son plus suave que l'arithmétique. |